Le client et l’avocat choisissent la stratégie de défense ensemble. L’avocat n’a pas forcément à accepter tout ce que son client lui raconte, surtout si c’est pas dans l’intérêt dudit client.

Par exemple, une personne prise la main dans le sac, avec preuves à l’appui, et qui clame son innocence, son avocat devrait le convaincre de plaider coupable.

Là un avocat qui désobéit au tribunal quand les juges lui demandent de se calmer, il a le droit, mais ça n’en fait pas un bon avocat.

Et si la stratégie “chier sur la partie adverse” dessert son dossier, on a le droit de dire que c’est un mauvais avocat.