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Cake day: March 7th, 2025

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  • Tu perds ton numéro temporairement, tu le récupères avec une nouvelle SIM non? En tout cas j’ai jamais changé de numéro en changeant de SIM. les RS, tu peux bien te connecter sans téléphone.

    Comme j’ai un dumbphone comme on dit, aujourd’hui plus personne n’a envie de me voler mon téléphone. C’est l’avantage.

    La banque par contre, maintenant, en France en tout cas, on est à peu obligé’e d’avoir un numéro de téléphone partout, et y en a peu qui acceptent les fixes, donc tu te le fais chourer, c’est la merde.








  • truite@jlai.lutoMental Health@lemmy.worldCan you relate?
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    19 days ago

    Yeah but, as I age on paper, I care and try less to fit anywhere. I’m old since I’m a child, but recently I spent three years younger than my age. I didn’t tell anybody, because they wouldn’t understand. I have few friends that don’t fit too, it helps, even if our weirdness are different.






  • Je rêve de retrouver de vraies souris “ambidextres” avec des boutons des deux côtés, sans qu’elles aient 15 boutons. Pas tous du côté droit. Des trucs à 5, 6 boutons max. Avant j’en trouvais pour 15 balles sans problème.

    Je rêve d’un smartphone sans GPS. Pas d’un où je peux le désactiver, mais un sans. Je crois que le 1er fairphone, on pouvait l’enlever. Depuis, à ma connaissance, que j’admets très faible, pas grand-chose.





  • C’est un article intéressant, merci!

    Sur la dépression, et un peu la santé mentale comme concept, j’avais écouté “Santé mentale : le genre de la dépression” de Nathalie Bajos, qui aborde notamment comment le diagnostic s’est construit, qui est diagnostiqué, qui ne l’est pas ou moins et donc qui est orienté vers quoi, etc. C’était super intéressant.

    Concernant les électrochocs, je lis les sources (je survole un peu mais je le ferai mieux), et celles sur les principes éthiques a un passage sur le consentement éclairé qui me pose pas mal question:

    Devant un refus des ECT, il importe [19] :

    • de s’assurer que le patient est apte à consentir et à refuser. Certains patients à cause de leur état dépressif sévère ne voient aucune possibilité d’amélioration, ils ne « refusent » pas pour ainsi dire mais « s’opposent ». Aller à leur encontre serait une forme de violence, mais violence souvent requise, en veillant à la réduire le plus possible grâce à une relation de confiance attentive, à l’écoute et a la parole ;
    • dans certains cas, des patients peuvent dire non mais leur comportement dit oui, par exemple accepter l’hospitalisation et aller à l’encontre des traitements proposés ;
    • un refus devrait être encore plus « éclairé » qu’un consentement ! Cela invite souvent à recommencer à informer le malade à propos de l’action envisagée.

    Ça me pose pas mal question, parce que qui définit que c’est s’opposer et pas réellement refuser, c’est quoi un comportement qui oui, au bout de combien de répétitions le consentement obtenu est-il encore libre… Déjà que, de base, une relation médecin-patient est une relation hiérarchisée, si on est hospitalisé et que notre sortie dépend dudit médecin, c’est encore pire, même si ça ne concerne pas tous les ECT.

    Et, globalement, j’ai tendance à recommander cet article-là au sujet des électrochocs. Parce que, oui, plein d’études existent, mais c’est un peu plus compliqué que ça.